Aujourd’hui, on va parler de comment ouvrir notre champs des possibles et comment rendre possible l’impossible. Pour ça on va s’intéresser à nos systèmes de croyances.

Dans l’épisode / l’article précédent, on a parlé de l’objectif général, de ce que vous allez retrouver par ici. Cet objectif, c’est comprendre son cerveau, réussir à se créer le mode d’emploi de son propre cerveau, de nos pensées, de nos émotions, nos comportements. L’idée c’est de réussir à utiliser toute la puissance créative de notre cerveau au service de notre épanouissement, l’utiliser à notre avantage plutôt que contre nous.

C’est ce qu’on va faire ici, c’est aussi le processus utilisé en coaching avec les clientes que j’accompagne

Donc pour ça, il y a 3 compétences sont nécessaires pour y arriver :

1. Explorer notre cerveau,
2. Le désencombrer
3. Le superviser – Le manager

Si vous n’avez pas écouté l’épisode / lu l’article précédent, je vous invite à le faire pour retrouver ce processus expliqué en détail ! et pour mieux comprendre les concepts dont on va parler ici.

Rendre possible l’impossible – ouvrir son champs des possibles

Aujourd’hui, on va parler de nos systèmes de croyances !

Quand je parle de système croyances ici, ce concept englobe 3 éléments que je vous propose de définir pour bien poser le contexte de ce dont on parle ici : Notre système de croyances c’est donc :

• Les croyances = Fait de croire à l’existence de quelqu’un ou de quelque chose, à la vérité d’une doctrine, d’une thèse + Ce qu’on croit ; opinion professée en matière religieuse, philosophique, politique
• Les certitudes = Caractère certain, indubitable – ce qui est certain + État de l’esprit qui ne doute pas
• Les convictions = Certitude fondée sur des preuves évidentes.

Le système de croyance d’une personne = Croyance + conviction + certitude = constitue sa vérité, sa réalité.

Et ce système de croyances évolue tout au long de notre vie, de notre enfance, de notre adolescence et même à l’âge adulte.

Sauf que, parfois, une fois arrivé à l’âge adulte, on a le sentiment d’avoir raison, d’avoir notre vision, du monde, notre réalité, et pour beaucoup de personnes, ça n’évolue plus beaucoup.

Ce système de croyances est utile et nécessaire parce que c’est ce qui permet à notre cerveau d’être efficace.

Pourquoi un système de croyances fixe est un problème ?

Notre système de croyances actuel c’est ce qui nous a permis d’arriver là où on en est dans nos vies aujourd’hui.

Mais si on veut changer certains éléments de nos vies :

• Un changement intérieur :
  • relation à soi, confiance en soi, estime de soi, relations aux autres, gestion du temps, gestion des émotions, charge mentale
• Un changement extérieur :
  • changer une habitude, aller vers un nouveau projet, développer son entreprise, obtenir une promotion, changer de vie, partir faire le tour du monde, perdre du poids…

Pour pouvoir se mettre en mouvement vers ce changement on va avoir besoin de développer un état d’esprit, un « mindset » de croissance, et donc accepter de remettre en question notre système de croyances.

Tous les objectifs qu’on n’a pas encore atteints, tous les projets qu’on n’a pas concrétisés, tous les changements qu’on n’a pas encore réalisés, nécessitent un nouveau système de croyance. Sinon, ce serait déjà fait, ce serait notre réalité

Adopter un état d’esprit de croissance ça veut dire accepter que nos certitudes, nos convictions, nos croyances soient mises à nu, explorées, évaluées, et choisies intentionnellement !

Rendre possible l’impossible en réévaluant notre système de croyances

Pour parler de ce système de croyance, j’ai envie de vous proposer une image.

Il s’agit d’imaginer que notre système de croyances est une sorte d’immeuble de plusieurs étages.

Les différents étages représentent les différents niveaux de croyance :

• au rez de chaussé, c’est l’étage du “c’est impossible”, du “c’est pas possible” = toutes les croyances auxquelles on ne croit pas (ou pas encore)
• premier étage = peut être que c’est possible, mais (pas pour moi, trop compliqué…), peut être que c’est vrai = étage du doute
• 2ème étage = c’est possible
• 3 ème étage c’est inévitable = c’est une conviction établie,
• dernier étage = le roof top = nos certitudes = c’est notre vérité, c’est notre réalité

Cet immeuble est plus ou moins complexe, plus ou moins tortueux selon les personnes.

Mais ce qui compte le plus, c’est que cet immeuble est équipé d’un ascenseur et cet ascenseur est capable de naviguer entre les étages.

Accepter d’utiliser cet ascenseur pour déplacer nos croyances, c’est ce qui nous permet d’avoir un état d’esprit de croissance !

La compétence que je vous propose de développer ici, c’est justement de vous apprendre à naviguer à travers les stages de votre de votre immeuble de croyances pour pouvoir rendre possible l’impossible. 

L’objectif, c’est de faire redescendre toutes les pensées issues de croyances qui ne vous servent pas. Toutes les croyances qui nous bloquent, qui nous sapent, qui nous limitent. Celles qui nous empêchent d’avancer vers nos objectifs ou qui nous font nous sentir mal… Toutes celles-là, on va les prendre, on va les déconstruire et on va les faire descendre dans notre ascenseur.

Et idéalement, on les fera carrément sortir de l’immeuble

A l’inverse, on va essayer de faire remonter tout en haut les pensées, les convictions, les croyances qui vont être utiles et nécessaire pour avancer vers l’atteinte vos objectifs, vers votre vie idéale. Toutes celles qui vont nous être utiles pour rendre possible l’impossible !

Que ce soit la recherche de notre épanouissement personnel et professionnel, sans avoir à sacrifier l’un au profit de l’autre.

Ou se construire un business rentable, obtenir une promotion, avoir du temps pour soi, avoir plus confiance en soi et dans son rôle de mère, améliorer nos relations avec nos proches, enfants, conjoints, améliorer sa gestion du temsp ou sa relation à l’argent etc.

Et c’est exactement le travail qu’on fait avec les clientes que j’accompagne en coaching !

Je les accompagne à travers chaque étape du processus et surtout je les aide dans les moments les plus inconfortables.

Parce que oui, c’est inconfortable.

Rendre possible l’impossible : un processus inconfortable

Des fois l’ascenseur est bloqué et on a l’impression de ne pas avancer, voire de régresser. Parfois on a l’impression de complètement perdre le contrôle de l’ascenseur : le fait que notre ascenseur se déplace en permanence et des fois à toute vitesse, et parfois dans tous les sens, ça nous file le tournis !

Au départ on a un immeuble bien fixe, bien stable, bien rassurant – mais aussi immobile et rigide, c’est ce qu’on appelle un état d’esprit fixe.

Quand on se propose de faire ce travail d’exploration pour rendre possible l’impossible, à travers ce processus changement de croyances, notre immeuble devient plus ou moins bancal, plus ou moins stable.

Ce qui est très inconfortable parce que ça perturbe nos repères, nos systèmes de référence. Et notre cerveau déteste ça, notre cerveau aime la certitude, ça le rassure puisque c’est ce qui lui permet de fonctionner efficacement. tout en économisant son énergie

Donc quand on commence ce voyage vers un nouvel objectif et qu’on entreprend de déconstruire nos croyances, notre cerveau va naturellement opposer beaucoup de résistance à tout ça.

C’est OK, c’est normal, ça ne veut pas dire qu’il y a un problème.

C’est pour ça qu’on peut ressentir le besoin d’être soutenu, d’être rassuré, d’être guidé, parce que rendre possible l’impossible est un processus déstabilisant, inconfortable et énergivore.

On peut faire ce voyage seul, mais on peut aussi ressentir le besoin de se faire accompagner.

C’est dans cette étape d’inconfort que beaucoup de monde abandonne – beaucoup de personnes préfèrent le confort de la stabilité de leur immeuble de croyances par défaut – même si ça veut dire renoncer à ses rêves, ses envies, ses ambitions.

2 compétences nécessaires pour rendre possible l’impossible

Ce que je veux vous proposer aujourd’hui, c’est d’essayer d’ouvrir votre champs des possibles pour rendre possible l’impossible et pour ça 2 compétences à explorer :

• d’un côté c’est d’ouvrir grand les portes de votre immeuble et d’y faire rentrer de nouvelles croyances !
• de l’autre c’est de considérer les croyances qui sont au rez-de-chaussée, qui sont au niveau du “c’est impossible” de voir comment on peut les faire monter dans les étages de votre immeuble – si ce sont des croyances qui nous paraissent utiles évidemment.

Tout commence par une idée

Parce que tout commence par une idée !

Tout projet, objectif, rêve, envie c’est d’abord une idée qui s’est glissée dans votre esprit, puis petit à petit, cette idée est passée de “c’est pas possible” à “c’est possible”

Pour illustrer ça, je vais vous raconter deux anecdotes personnelles, deux moments dans ma vie qui ont été clés dans mon projet entrepreneurial, deux moments de révélation où d’un coup j’ai senti mon champs des possibles qui s’agrandissait

Découverte du digital learning

Le premier moment wahou, c’était en 2018, retour de congé mat après la naissance de ma 1ère fille. Au bout de quelques mois ça commence à devenir compliqué au travail pour tout un tas de raisons :

• raisons personnelles : manque de sens, et du mal à trouver ma place entre ma vie pro et ma vie de maman, j’étais complètement déboussolée !
• et des raisons conjoncturelles : l’entreprise où j’étais salariée à l’époque a eu des difficultés économiques et à lancer un plan de licenciement.

Bref dans ce contexte, je me posais des questions sur mon avenir professionnel, j’étais en mode “je ne sais pas” mais je n’avais aucune idée de ce que je pourrais faire d’autre, de ce qui pourrait me plaire, de ce qui pourrait me faire envie.

Et un jour, je zonais sur facebook pendant ma pause dej… et là, je vois une publication pour une formation en ligne.

C’est à ce moment là que j’ai découvert l’univers du webentrepreneuriat et des formations en ligne ! J’étais en mode “mais c’est un truc qui existe ça ? Genre c’est vraiment possible de se former en ligne et aussi de gagner de l’argent en travaillant sur internet et de pouvoir choisir ses horaires, son lieu de vie et tout “ mais c’est génial ! genre c’est vraiment un métier ça ?

Cette idée qu’on pouvait être une femme, une entrepreneure et avoir cette liberté, ce n’était tout simplement pas dans mon champ des possibles, donc je n’y pensais pas.

Comme si cet univers, c’était une langue étrangère que je ne comprenais pas. Ou une culture à laquelle je n’avais jamais été exposée.

Et là, mon champs des possibles c’est ouvert d’un coup ! L’idée était entrée dans mon cerveau, comme si une petite graine avait était plantée là. Evidemment il a fallu du temps pour que cette graine germe et donne vie à un projet construit et concret

Mais c’était fait, l’idée était là ! Et ça c’était irréversible

Devenir coach = passer du « c’est impossible » à « c’est possible »

2ème moment Wahou – à peu près à la même période que le premier. J’ai commencé à écouter des podcasts sur le développement personnel.

Un jour, je me souviens j’étais dans ma voiture, je venais de déposer ma fille à la crèche, j’écoutais un épisode du podcast de Brooke Castillo (c’est une life coach américaine, son podcast c’est The life coach School podcast, c’est une pépite ce podcast, si vous parlez anglais foncez l’écouter !)

Donc dans son épisode de podcast Brooke parlait de son business dans le coaching et de sa réussite et des millions qu’elle avait gagné l’année précédente grâce à son entreprise (je ne me souviens plus du montant exact, mais c’était une somme qui me paraissait complètement folle) tout en bossant 3 jours par semaine.

Je me souviens avoir manqué un temps d’arrêt et d’avoir senti comme quelque chose qui se débloquer en moi. Parce qu’elle parlait de ça, pas comme si c’était quelque chose d’extraordinaire, pas comme si elle avait gagné au loto. Non elle en parlait comme si c’était quelque chose de tout à fait faisable.
Elle en parlait comme si c’était accessible. Elle avait gagné des millions une année et elle le ferait l’année d’après (et c’est ce qu’elle a fait d’ailleurs et qu’elle continue à faire depuis)

Cette idée qu’on pouvait être entrepreneure, gérer une entreprise prospère, sans bosser 24h/24 c’était du domaine de l’impossible.

Mon ancien système de croyances sur l’entreprenariat

J’avais cette vision de la réussite entrepreneuriale, dans mon système de croyances à l’époque c’était plutot :

• il faut travailler dur,
• il faut bosser 24h/24 – 7 jours sur 7,
• mon image de l’entrepreneur à succès, déjà pour moi c’était un homme, pas une femme et dans tous les cas,
• cette personne sacrifiait tout : sa famille, son bien être, sa vie personnelle pour sa réussite pro

Donc avoir du succès dans l’entrepreneuriat, dans le domaine du coaching avec des horaires de travail souples, c’était pour moi à l’époque du domaine de l’impossible.

Ce témoignage de Brooke m’a permis d’envisager la possibilité que ce soit possible – de rendre possible (ou du moins envisageable) l’impossible !

Dès que j’ai commencé à m’ouvrir à cette possibilité, l’idée à commencer à faire son chemin dans mon esprit, à infuser en quelque sorte.

Puis le fait de devenir entrepreneure dans le coaching, en étant libre de mes horaires c’est devenu pour moi mon nouveau rêve, mon nouvel objectif, ma nouvelle vie idéale et j’ai commencé à voir les choses différemment. Mon cerveau a commencé à changer. J’ai commencé à repérer autour de moi les coachs françaises – des femmes – qui avaient du succès.

J’ai commencé à me dire que que oui peut être que c’était possible pour moi d’être entrepreneur et de gagner ma vie grâce au coaching.

Je suis hyper reconnaissante envers Brooke Castillo d’avoir parler aussi librement de sa réussite financière parce qu’elle m’a permis de réaliser que c’était possible.

Depuis j’ai créé mon entreprise, je me suis formée au coaching et j’ai obtenu ma certification auprès de Brooke Castillo justement, dans son école de coaching.

Et maintenant je suis vraiment engagé dans la réalisation de cet objectif là pour moi = développer et faire prospérer mon entreprise de Coaching.

Explorer notre champ des possibles

Rendre possible l’impossible, imaginer que quelque chose est possible, ça commence juste avec une pensée.

L’idée que c’est possible doit nous apparaître et on doit lui laisser la possibilité de rentrer dans notre cerveau.

C’est une question que j’ai envie de vous poser :

• Est ce que vous vous êtes déjà demandé ce qui était possible pour vous ? pour vos vies ?
• Est ce que vous vous êtes déjà donné l’opportunité d’explorer votre champ des possibles ?

Parce que si vous ne vous posez pas la question, les possibilités ne vous apparaitront pas et votre champs des possibles restera limité à ce que vous connaissez déjà, part votre expérience ou celle de vos prohces.

Ce qu’il se passe dans nos têtes

La vérité, c’est que quand on commence à penser à quelque chose, quand on commence à s’ouvrir à la possibilité que ce quelque chose soit possible, on va commencer à ressentir des émotions associées à cette idée, à cette possibilité.

Si on ressent ces émotions, on va pouvoir se mettre en mouvement. On va pouvoir passer à l’action. Et donc on va pouvoir avancer vers le résultat qu’on souhaite c’est à dire la concrétisation de cette possibilité

C’est comme ça que notre cerveau fonctionne : nos pensées génèrent nos émotions, nos émotions servent de carburant pour nos actions et nos actions finissent par créer les résultats qu’on obtient dans nos vies. On aura l’occasion de revenir en détail sur ce modèle de fonctionnement dans un prochain article.

Mais ce qu’il faut retenir ici c’est que notre système de croyances rassemble les scénarios, les schémas, les scripts cachés qui régissent nos vies. C’est lui qui module et façonne nos pensées, et donc à terme, il est responsable de nos résultats, de notre réalité.

Marie Forléo dans son livre « Tout est possible » utilise une image que je trouve hyper parlante.
Elle explique que nos systèmes de croyances seraient comme des rails sous un train. Ils déterminent notre destination, la direction dans laquelle on va, et comment on arrive à destination.

Passer de « c’est impossible » à « c’est possible »

Une fois qu’on a ouvert notre champ des possibles, qu’on s’est donné l’opportunité de l’explorer, la deuxième étape c’est de réussir à passer de la conviction du “c’est pas possible” à la conviction du “c’est possible”

Vous connaissez peut être la citation d’Henry For qui a dit

“Que vous pensiez pouvoir, ou ne pas pouvoir, dans les deux cas, vous avez raison”

Les croyances du c’est possible ou du c’est impossible sont comme des prophéties auto réalisatrices.

Quand on croit que c’est impossible

Si vous pensez que quelque chose n’est pas possible pour vous

• Etre épanouie dans son travail et dans sa maternité
• Créer un business florissant tout en ayant du temps pour s’occuper de de ses enfants,
• Se reconvertir professionnellement quand on a des enfants en bas âge etc..

Si vous pensez que ce n’est pas possible vous avez raison à 100%, ce ne sera pas possible pour vous.

À partir du moment où votre cerveau vous dit « Ce n’est pas possible » ou « Je ne peux pas » ou « Ça ne marchera jamais» et que vous croyez votre cerveau, vous donnez le coup de sifflet final, c’est pas possible, point, fin de la partie.

Quand on s’ouvre à la possibilité du « c’est possible »

Au contraire, si vous prenez le temps de vous ouvrir à la possibilité que c’est possible :

• d’avoir du succès dans sa vie professionnelle tout en étant une maman investie épanouie,
• d’avoir du temps pour soi
• de se sentir sereine et en harmonie
• de ne pas vous épuiser dans votre travail etc.

Si vous posez la question à votre cerveau. Comment est ce que je peux rendre ça possible ?

Vous allez justement planter la petite graine qui va vous permettre de trouver les réponses à ces questions-là. Parce que notre cerveau est une formidable machine pour répondre aux questions ! C’est lui qui va nous aider à rendre possible l’impossible !

Utiliser un Vision Board pour ouvrir son champ des possibles

Récemment, j’ai proposé des ateliers sur la création d’un vision board

C’est un outil de visualisation de nos rêves, de nos envies, de nos objectifs.

Ce qui est ressorti des discussions avec les personnes qui ont assisté à cet atelier ce sont 2 comportements bloquants :

• Soit elles n’y avaient jamais pensé. Elles ne s’étaient jamais autorisées ce moment d’exploration de ce qu’elles pourraient faire de leur vie, en dehors de ce qui étaient déjà leurs normes, leur réalité, leur champs des possibles .
• Soit elles avaient identifié leur rêves mais ils étaient coincés dans leur étage du c’est pas possible
  • devenir entrepreneure, coach, créatrice, auteur, une femme épanouie ou bien d’autres choses encore.

Mais ce qui est triste : ce n’est pas comme si ces personnes avaient essayé de concrétiser leurs rêves et avaient échoué. Non, la vérité c’est qu’elles n’avaient même pas considérer la possibilité d’essayer. Elles n’avaient jamais pensé à la possibilité que ce soit quelque chose qui puisse exister dans leurs vies

Si on reprend l’exemple dont je vous parlais tout à l’heure

Quand j’ai quand la possibilité m’est apparue, d’être un entrepreneur dans le milieu du coaching en ayant de la liberté dans mes horaires et de mon lieu de travail, C’est devenu petit à petit une nouvelle réalité pour moi.

Je n’avais jamais été explosé à cette à cette possibilité. Je n’avais jamais considéré cette possibilité jusqu’à ces deux moments.

Mais à partir de ces moments c’était là !

Et plus j’y pensais, plus je donnais d’espace mental et d’exploration à cette idée. Moins ça me paraissait impossible.

Ce n’est pas de la magie, c’est comme ça que le mode monde fonctionne. Ce sont nos pensées, nos croyances qui finissent par créer nos résultats et notre réalité

Est-ce que ça veut dire que la croyance du « c’est possible » suffit à rendre possible l’impossible ?

A ce stade peut être que vous vous dites que en gros il suffit d’y croire suffisamment, d’y croire très très fort pour pouvoir obtenir tout ce qu’on veut.

Non pas du tout !

La croyance est nécessaire mais pas suffisante.

Cette croyance c’est le premier ingrédient de la réussite, mais elle n’aboutira à rien si elle n’est pas soutenue par le passage à l’action, par l’implication, par la créativité, par le courage et la résilience

On est d’accord que si on croit très fort qu’on peut devenir millionnaire en restant assis dans son canapé, les chances de réussite sont quand même très faibles.

Cette pensée du c’est possible, est vraiment le premier ingrédient, la première étape nécessaire et fondamentale pour :

• réussir dans un projet
• pour atteindre un objectif,
• pour avoir du succès
• pour matérialiser nos envies, nos rêves et nos désires.

Si vous sentez que vous avez besoin d’aide pour explorer votre champ des possibles, n’hésitez pas à aller découvrir mon atelier offert sur le Vision Board (ou outil de visualisation en bon français).

Cet atelier c’est une vidéo et un workbook pdf accessibles gratuitement

Dans cet atelier il y a justement toute une partie exploratoire ! Je vous donne plein de Conseils mindset pour lever vos blocages et vous créer cet espace d’exploration de vos rêves, de vos envies.

L’idée c’est d’aller ouvrir votre champ des possibles et pour vous aider à infuser dans votre cerveau, dans votre esprit de nouvelles pensées, de nouvelles possibilités, de nouvelles croyances pour rendre possible l’impossible.

Pour découvrir l’atelier c’est par ici🎁

Le Workbook est un cahier format PDF. Il vous guide pas à pas dans la phase exploratoire, dans la phase d’introspection pour vous autoriser à rêver, à rêver grand, vous autoriser à imaginer, à ouvrir votre votre champ des possibles.

Il y a aussi toutes les étapes pratico-pratiques pour vous aider à créer votre vision board, format papier ou digital.

Je vous explique aussi :

• Comment l’utiliser dans votre quotidien,
• Les concepts neurologiques qui se cachent derrière cet outil,
• Pourquoi ça en fait un outil étonnamment puissant pour avancer beaucoup plus vite vers l’atteinte de nos objectifs.

Je vous partage les erreurs courantes et comment les éviter

Tout ça disponible gratuitement en allant sur https://camillegaudin.fr/bonus-vision-board/